Les ateliers nantais de l'association
"la machine", dirigés par
François Delarozière (ancienne moitié de la compagnie Royal de luxe), nous ont offert un spectacle à couper le souffle.
L'araignée Kumo s'est offerte une déambulation très fin-du-monde dans les rues de la sous-préfecture marnaise.
Au cas où, je parle de Reims.
(Vous n'étiez pas très attentive pendant vos cours de géographie, ma parole).
(Vous préfériez gribouiller des déclarations d'amour semi-cryptiques à Jérémie dans les marges de vos cahiers).
(Vous auriez mieux fait d'écouter).
Note à l'intention des rabats-joie et autres peines-à-jouir : En effet, à chaque événement organisé par la municipalité, vous autres grincheux ne songez qu'à vous indigner du montant des festivités.
Ne pouvez-vous pas simplement vous réjouir d'un joli spectacle ? Et ne négligez pas non plus les retombées économiques positives : plus grande affluence dans les hôtels, restaurants, bars, parking, patrimoines, amélioration de l'image de la ville...
Certains esprits plus matheux que le mien ont estimé que l'araignée avait couté 6 euros par habitant de la commune. Souvenez-vous que la moindre place de cinoche flirte avec les 10 euros, et allez grincher ailleurs, araignées du matin.
